L'agriculture à Saint-Prest

Au début du 20e siècle il existe de nombreuses petites fermes à Saint-Prest.

Elles possèdent généralement un cheval, quelque vaches et d'autres animaux de basse-cour qui leur permettent de vivre avec ce qu'elles  produisent et ce qu'elles vendent au marché ou à domicile.

Déchargement du foin ferme Robert Fouré au Gorget (archives Alain Vangeon).

Edification d'une meule.

 

 

Vendanges de Saint-Prest autour de 1900.

 

 

Jusqu'à l'apparition des tracteurs, chaque ferme avait ses chevaux pour la traction des machines agricoles. On considérait en 1880 qu'il fallait un cheval pour 10 hectares de terres labourable un charretier pour 3 chevaux.

Les terres labourables de Saint-Prest étaient autrefois découpées en un très grand nombre de parcelles. En regroupant des champs de faibles superficies ou trop dispersés pour être facilement exploitables le remembrement visait à réduire les temps et les coûts d'exploitation,à adapter  le parcellaire aux techniques et engins agricoles modernes tels que les grands tracteurs et les moissonneuses-batteuses.

Le sais-tu?

En 1930? on considérait qu'une grande exploitation disposait de 40 hectares labourables. Aujourd'hui, la superficie moyenne est de 140 hectares.


 

Fleur de colza, résultat du croisement entre le chou et la navette. Reconnaissable à mes grappes de fleurs jaunes, je suis cultivée pour mon huile alimentaire. Aujourd'hui, je suis un biocarburant incontournable et ma floraison abondante est une ressource primordiale pour les abeilles.


 

On me considère comme une plante d'avenir. On me surnomme l'herbe à "éléphant"

Je suis le miscanthus

Je rencontre un succès croissant dans les secteur agricoles ou de l'énergie. On m'attribue de nombreuses propriétés liées à ma valeur énergétique et à ma contribution dans la dépollution des eaux des cultures alentours. Ma combustion génère moins de gaz carbonique que le bois et mon pouvoir calorifique est plus élevé que celui d'une plaquette de bois